Guide de survie en printemps hostile…


Le constat : on la met souvent sur le compte du changement d’heure, mais la fatigue printanière est une réalité physiologique plus vaste. En cause, plusieurs facteurs comme les caprice météo, les bouleversements hormonaux, et les carences en minéraux consécutives à l’hiver.
Le plan d’action : Pour lutter contre la fatigue de printemps, c’est simple, il faut manger et bouger… mais pas n’importe comment ! Côté exercice, l’idéal est de faire une activité sportive même modérée (30 mn de marche), le matin, en extérieur, pour faire le plein d’oxygène et de lumière. Car le manque d’oxygène – fréquent en hiver quand on reste confiné – entraîne maux de tête et mauvaise circulation sanguine. La lumière permet quant à elle de resynchroniser notre biorythme et notre production d’hormones, qui contrôlent notre métabolisme, notamment le sommeil. Et dans l’assiette, on mise sur les aliments détox - radis noir, artichauts, jus de citron – et sur ceux riches en vitamines et sels minéraux : les fruits et les légumes bien sûr, mais aussi, on y pense moins, les fruits secs, les
céréales complètes, les épices et herbes aromatiques.

Le constat : Pas de chance, le bac et autres partiels tombent systématiquement au printemps (et pendant Rolland Garos ;) ! On ne peut rien y changer, mais on peut au moins limiter le stress qui accompagne ces épreuves…
Le plan d’action : réviser, c’est bien, mais notre cerveau fonctionnera encore mieux avec une bonne hygiène de vie ! Pour cela, le trio magique, c’est sommeil, exercice et alimentation (on révise le premier paragraphe !). On pense aussi à soigner son mental, en pratiquant les techniques qui calment les ruminations et bouffées de stress, comme la sophrologie, la méditation – en téléchargeant par exemple une appli spécial méditation – ou encore la respiration abdominale, à découvrir avec les tutos dispos sur les plateformes vidéos. Enfin, on s’inspire des sportifs qui pratiquent la « visualisation positive », une technique très puissante où l’on se représente mentalement en situation de réussite, avec toutes les émotions et sensations associées. Là aussi, des tutos sont dispos sur le net.

Le constat : C’est un constat partagé par une large majorité des personnes ayant une peau à tendance acnéique : moins fréquentes pendant la saison d’hiver, les poussées acnéiques sont à l’inverse plus nombreuses lorsque le printemps arrive.
Le plan d’action : avec le foie ou les reins, la peau est l’un des principaux « émonctoires » de notre corps, un organe chargé d’éliminer les toxines, ce qui se fait pour le derme par le sébum et la transpiration. Pour « simplifier » le travail de notre peau, on se tourne donc logiquement vers des aliments détox comme l’artichaut, l’ail, la betterave, le raisin…
On change aussi ses habitudes beauté en fonction de la saison, avec un maquillage plus léger, et toujours non comédogène. Côté soin, on ne baisse surtout pas la garde, avec une routine quotidienne adaptée : d’abord, un nettoyage de peau en règle et en douceur avec le Gel nettoyant ou l’Eau micellaire Cleanance. Puis, on poursuit avec Cleanance mat Emulsion matifiante, une crème pour peau grasse, qui a la propriété d’hydrater tout en matifiant immédiatement, et de réguler à moyen terme la production de sébum des peaux grasses. Et on termine par le soin Cleanance Expert, qui favorise l’élimination des boutons et la diminution des points noirs.

Le constat : D’après le réseau national de surveillance aérobiologique, les pollens sont responsables de réactions allergiques du type « rhume des foins » pour 10 à 20 % de la population française. La pollution aggrave les allergies, en augmentant la sensibilité des muqueuses respiratoires et aussi en modifiant la structure biochimique des pollens.
Le plan d’action : Evident, mais ça va mieux en le disant, on commence par suivre les conseils de son allergologue ;) ! Avant de sortir, on consulte le site pollens.fr et ses bulletins de pollen par région. En cas d’alerte, des lunettes de soleil, un masque respiratoire ou à défaut un foulard, font office de protection. On privilégie les balades après la pluie, car elle plaque les pollens au sol. On aère son intérieur la nuit et pas en journée, et on roule fenêtres fermées en voiture. On pense à se laver fréquemment les mains et le visage à l’eau, et, pendant les pics d’alerte, on se lave les cheveux tous les soirs pour ne pas mettre de pollens sur l’oreiller. Certaines huiles essentielles seraient efficaces contre le rhume des foins, comme l’huile essentielle d’estragon, à inhaler sur un mouchoir, ou encore les huiles essentielles de lavande, eucalyptus, laurier, selon les symptômes, à affiner avec un aromathérapeute. Attention, jamais d’huiles essentielles chez l’enfant et la femme enceinte.